mardi 23 avril 2024



-Seul-Secret-Autrement-

-mWm-

-27/28/03/2024-


Mon seul secret Est le secret de l’autre Tant

Des autres Mon ami Mon inconnu Dans la rue

Est la sortie de la belle vie Toi De la princesse

La couleur Dans tes yeux A y croire D’avoir peur

La bonne odeur D’une chaleur De te sourire

Toi mon ami Et ta belle Et la tendresse par cœur

Mon seul secret D’être sur du rond bonheur

-00h23-

Mon autre secret Toi qui le tient Dans tes mains carrées

Dans ton rêve droit Et le soldat D’un seul poids

Fin calculateur Tu as perdu Au labeur Ta peur

Tu n’est plus la tendresse De ton cœur rond et doux

D’où sors-tu La balade vertigineuse de pouvoir

Reste dans le silence de ton regard Toi mon ami

Et oubli de vouloir D’autre envie Que le partage

-00h28-

Autrement De te contempler Et te donner mon rien

Tout ce que je n’ai pas Mais A l’avoir rencontré

Tout ce qui t’appartient Mais passer sans le voir

Tout ce qui te retient Dans l’autre dépassement

Autrement dit Dis-moi le jour Dans ton espoir

Revoir Chaque jour Le monde d’un autre bon

D’un loug recommencement Chaque jour Le tour

-00h33-








-Content-Derrière le rideau-Contempler-

-mWm-

-27/28/03/2024-



Content

Plier le papier

Et y écrire


Ce que vous savez

Sans le vivre assez

Ecouter les ronces

Derrière les fronces

Du rideau


Que vous imaginez

Ce qui est à deviner

Là Devant les yeux

De nos aïeux

Devant Nos cœurs

A vider nos pleurs

Derrière le rideau

-00h38-


Content

Plaisir à venir

Et le dire


Vous ne savez pas

Mon cœur n’est pas seul

D’un maigre repas

Retire le linceul

Du rideau


Trouver en folie

La peur abolie

Là tu es voisin

Avec mon fusain

Tu trouveras la pierre

Touchant les parterres

Derrière le rideau

-00h43-


Contempler

Echapper Au dire

Derrière le rideau


Porter son cabas

Vers le haut d’en bas

Observer le tendre

Au cœur le répandre

Du rideau


Et siffler son cœur

Sortir du petit soldat

En oubli Malheur

Les feux du sabbat

Pour poser dans l’âme

La fin du grand drame

Le rideau ouvert

-00h48-








-Premier-Deuxième-Rose-Fin-

-mWm-

-27/28/03/2024-


Sur le premier pétale De la rose Sur la croix

Y avait une existence A tendre la main Nue

Sur les sépales De la sépulture La fleur séchée

Où vont tous ses habits de blancs Et leur courage

Où se trouve la tache de rouge Je te veux Je te vois

-00h52-

Sur le deuxième jour Je t’aime Passionnément

Et ne débordant que peu De ce qui est avenir

Ne pas savoir Ne pas avoir Pour n’être pas

Et renaître pour une fois Sur le chemin de bois

Sur le passage Dans le feu Pour ne plus avoir froid

-00h55-

Rose de rose Rouge Je bouge Et te prends la main

Dans une pièce Il y avait le soldat perdu Du début

Les deux faces D’avant en arrière Comme un passage

Plus sage de donner Même ce que tu n’as pas vu

Tu tiens Dans le jour Et tu écris la nuit D’amour

-00h58-

Enfin L’appétit de la fin Qui ne se termine jamais

C’est à espérer A prendre ou A laisser piétiner

A construire Dans la nuit Un jour A la chandelle

Et le piège des fêtes Marchande de ces équilibres

Où tout le monde marchera rond Dans ma contemplation

-01h03-





 



-Petite sœur-Le pied-Du regard-

-mWm-

-30/03/2024-


Ma petite sœur a un sourire de cerise Le noyau

Le beau de convoitise N’en a pas seul le trait

La main vers la cuillère A porter la soupière

Et l’enfant ris Et l’ange crie Sa ronde bille

Et le bouillon de bruit Parfume son ventre repu

Et de réclamer Dans la joie Le rire et les bras

Comment établir Dans le regard Le départ

-17h25-

Mettre le pied d’avant Et oublier soupirs et cris

Etre plutôt l’enfant Qui fait grandir le monde

Et l’ovale de la table Est passé au gros soleil

La nappe du présent Avec l’assiette creusée de vie

Pleines de bons dégâts Des autres de longs soldats

Sa tartine de rue Et ça coule le méchant printemps

Avec le premier pas Verra-t-il Et sa relance

-17h29-

Commencement du regard Les yeux profonds

Etincelle du piège de s’allonger En hauteur

En senteurs des ridules Des fleurs et des bidules

Il joue Il pose ses joues Contre de la musique

Les sons évolués Et le rire de ses rythmes Là

Aussi se solidifient Les premiers équilibres vifs

Les oreilles étonnées Et quand viendra la parole

-17h33-






-Aux sommets-Les cartes-Vers les mots-

-mWm-

-31/03/2024-


Monté Aux sommets de sa réalité Bébé piaille

Jette des O et des A Des beaux Des pas Pas encore

Solitude de dormir Après le bi Le rond Le biberon

Le champ des yeux mi-clos Pour son bon repos

Croissance Le rêve redingote Le maillot rayé

Et salopette des volets fermés Pour s’en aller

Les songes évaporent Les dernières paroles du jour

-19h25-

Les cartes se déposent Dans une digestion de jeux

Assises sur les souvenirs Chacune prennent place

Et le cheveu au vent Veut-elle être rouge Enrôlée

Mais le pique ne renonce pas A prendre le son d’atout

Ça compte les virgules Ça roule sur le tapis bleu

Ça parle A peine Pour ne pas vendre les silences

Alors les restes du jeu Ressemble à une communion

-19h28-

La fête Vers les mots De sympathique tendance

Fredonne Avec les photos d’encore Hier Tu as vu

Tourner les pages de tissu Bébé Aime Adore

Il ressemble Avant le repos A l’amouraché de vie

Il tend ses bras Vers Maman Papa Dans les bras

Et maintenant parti La couette blanche Rêverie

Dans sa lecture Le silence est nourri Par le plaisir

-19h32-





 


-Savoir-Connaître-Dimensions-

-mWm-

-04/05/04/2024-


Savoir de ne pas connaître A la branche D’un arbre

Laisser les moutons paître Dans tes mains de graines

Puiser dans les ressources Du cant des routes étoilées

Et voiler de soif Visser la faim Les poids des tours

Des sentiers édifiés Au cours des années sans détour

Rien n’est plus possible Que de mettre Sur le lendemain

Les impossibles salutaires Qui trouveront les matins

-01h52-

Connaître de ne pas savoir Les gestes durs Les gestes surs

Concocter des plans de remous A s’enfoncer d’avant

Des envies de lire Dans les cœurs Les voir chacune

Des pièces recollées Avec l’amour Avec les traits d’été

Avec solitudes perdues Aux fonds des retrouvailles

Comme les temps disparus Les faux mensonges

Tu m’as posé Une belle vérité Comme le doute

-01h57-

Dimensions de la nuit Chacun roule comment

Le miroir de la lune Nous donne certitudes

Rectitudes avancées En es-tu bien certain Aussi

As-tu croisé la route Avec un piédestal d’arbre

Sais-tu comment chanter Les rêves de méditer Là

Au pied de nos montagnes L’horizon usé De voir

D’apercevoir La paix Un petit bout de chacun Un grand morceau de tous

-02h01-







-Bâton-Sentier-Buissons-Un jour-

-mWm-

-04/05/04/2024-


Un bâton à la main Pour faire venir la pluie Le sol

Les pieds Savates rusées Au bord des ronces sombres

Souliers Posés sur une tête vidée De toutes les virgules

Laisse se vomir Ce qui se cache Au kaléidoscope

Et prépare-toi à franchir Ta vie belle A la montagne

-01h12-

Y-a-t-il un sentier Plus qu’un autre Ou plus tard

Serait-ce le début De lever la tête L’œil au soleil

Pourquoi plutôt gravir la timide saison des nuits

La ridicule assurance Rassurez-vous C’est perdu

Même travailler à la chandelle N’éclaire plus

-01h16-

Les buissons Racines de cailloux Brouillés de sables

La frêle ombre de l’arbrisseau La vilaine Qu’il est beau

Partir pour retourner vers le chemin des étroites étoiles

Et gravement Gravir les graviers Les pas entiers

Les passages Entre pluies et soleils Chercher merveille

-01h20-

Quand chaque pas est un jour Oubliant le précédent

Quand le bâton a maigri Pour naître en herbe séshée

Que je te prends pour écrire Décrire les bruits de pas

Et où je pense à toi Habitant du monde d’en haut

Du monde de l’en dessous De ma veste Toi La paix L’ami

-01h23-









-Paix-Roses-Rire-

-mWm-

-04/05/04/2024-


Un homme de paix Bruyant et Puant Au plus

Donné l’impression Que savoir Ou bien connaître

Donné Par l’accepter Par le croire Par le dire

Donné Sur un ton de franchise Le rêve inusable

Ce qu’il disait Ne t’existes-tu pas Ne plus comprendre

Finir par donner la chance Plutôt qu »à la conscience

Et N’en savait que peu Toujours A se recommencer

-00h55-

Cueillir une rose des sables Au milieu de l’océan

Le néant du grain de plage Du plein de la barge

Le pose-toi encore Les yeux Avec un oreille pleine

Emplie de la vie de l’autre Le bruit Le bruit La vie

J’avais écouté le silence Et l’orpailleur A pied

J’avais observé Le cœur ouvert De toute sa hauteur

Et finalement Au tout petit J’ai dit Sens-tu l’odeur

-01h01-

Alors Etait parti en courant de rire Ballon des mains

Enfin s’était arrêté Comme dans un piège Sifflant le vent

Après Les doigts dans ses paupières Avait roulé le temps

S’était étalé dans le silence absent Pour s’en nourrir

Et la pluie s’en est venue A tous A nettoyer leurs

Attentions Intérêts vibrer Pour quitter le bonheur

L’enfant avait grandit et je me sens Une paix toute seule

-01h07-








-Savoir-Connaître-Dimensions-

-mWm-

-04/05/04/2024-


Savoir de ne pas connaître A la branche D’un arbre

Laisser les moutons paître Dans tes mains de graines

Puiser dans les ressources Du cant des routes étoilées

Et voiler de soif Visser la faim Les poids des tours

Des sentiers édifiés Au cours des années sans détour

Rien n’est plus possible Que de mettre Sur le lendemain

Les impossibles salutaires Qui trouveront les matins

-01h52-

Connaître de ne pas savoir Les gestes durs Les gestes surs

Concocter des plans de remous A s’enfoncer d’avant

Des envies de lire Dans les cœurs Les voir chacune

Des pièces recollées Avec l’amour Avec les traits d’été

Avec solitudes perdues Aux fonds des retrouvailles

Comme les temps disparus Les faux mensonges

Tu m’as posé Une belle vérité Comme le doute

-01h57-

Dimensions de la nuit Chacun roule comment

Le miroir de la lune Nous donne certitudes

Rectitudes avancées En es-tu bien certain Aussi

As-tu croisé la route Avec un piédestal d’arbre

Sais-tu comment chanter Les rêves de méditer Là

Au pied de nos montagnes L’horizon usé De voir

D’apercevoir La paix Un petit bout de chacun Un grand morceau de tous

-02h01-