mardi 25 janvier 2022



Amis des yeux
Chanson des cœurs
Et créations
-25/01/2022-
avec Mon Coeur, Véro, Daniel
et -mNIm-

 

jeudi 20 janvier 2022

Avec le concert-lecture Nocturnes de Chopin
Natacha LLORCA au piano
et une peinture de -mNIm-
à l'atelier de Troyes


-Pas nocturnes-
-mNIm-
-09/12/2021- 

Nocturne Pas un nocturne La nuit horribonde et luisante 
 Fruit de la tourne-terre Se cacher du tiède Sol Soleil 
 Fermer les volets Le bruit Grincent de la fatigue du jour 
 Prendre Comme une arnaque les kilomètres de ces vérités 
 Comprendre L’attente de laisser courir De l’enfant 
 L’heure de laisser coucher Le mélange de chaque être La fête 
Tous les retours à la maison Nous t’attendions 
 La veste sur la chaise Le triangle du fruit du moment 
 Et le solitaire disparut De la rue Perdre et se retrouver 
 -18h51-


-Les croisades du bonheur-
-mNIm-
-09/12/2021- 

 Nocturne du cœur A l’autre bout la maison remue 
 Le coq sèche dans le four Et la roue éclabousse d’huile 
 Manger Sortir la fourchette de la bouche Buchettes 
 Le feu cache l’oubli du froid et de cendre Partager 
 La pierre fraîche Le tapis tapi dans ses bras froids 
 Le choix de ne plus pleurer En aucune galère La joie 
 La gloire de t’embrasser Avec un reste de mon gros cœur 
 Porte ficelée à la tendresse Aussi long que l’entrouverte 
 Aussi De ta musique Naissent les croisades de nos bonheurs 
 -18h57-

 -Il est plus-mNIm-05/06/01/2022-

Je n’en sais rien Vidange La réserve de belles espérances

Comment fourrer de bonheur Un instant intrépide

Rembourrer de joie Les cris absurdes de l’ignorance

Les piliers malades Comme des arbres centenaires Et l’air

Retombés Les branches renaissantes N’en veulent plus

Les fruits d’espoir S’essoufflent à se gorger d’heures

Restés plongés dans l’orage d’un avenir bien meilleur

Comprimés par les luisances de la lune d’avant-hier

Sommation de la justesse Combinaison de la sagesse

Rien ne vaut les mélanges de la nuit Et du long jour

Mais aujourd’hui La nuit est plus longue que l’amour

-00h08-

-Fatigant encore-mNIm-05/06/01/2022-

Je le sais bien Mon ignorance touche à sa famine

Et devine les contraires Ne valent moins que rien

Au beau milieu des sommeils Plus que déraisons

Au plus offert Des dialogues creux des extrémités

Je Juste maintenant Jubile Que je croîs connaître

La vente de mes riens Bien moins chair et cœur

Plutôt de l’esprit stupide Qui m’emporte Pièges

Je laisserai passer les chemins insolites de l’autre

Oubliant l’aride reflet De ses pensées certaines

C’est l’autre M’emmène Me strie Me déconstruit Bonjour

-00h16-




-De laisser-mNIm-05/06/01/2022-

Je suis le charlatan de mes humeurs possibles

Je divise le doute Avec l’incertitude des routes

Croire en la montagne Emballée de nus nuages sages

Cacher le sentier Prendre le chemin de l’instant d’avant

Plier le genou Pour mieux courir Et ressortir digne

Connaître le terrible horizon En en chantant la ligne

Même la lune ne va plus échanger les cailloux Les ruisseaux

Les buissons écrasés Les arbustes gênés Les vies pas mûres

Et les commentaires alambiqués de tout trop savoir

Je ressens L’incapable lendemain Où je ne verrai rien

-00h24-

-S’enfuir le temps-mNIm-05/06/01/2022-

Sempiternellement Quand je ne me mentirai pas

Gloussement du regard Gardé avec votre nid Pitié

Racontars éloquents De me mettre les deux genoux

Citoyens de mes réflexions En miroir avec vos êtres

Je ne toucherai plus à rien Je reculerai de trois pas

Je souffrirai seul En soufflant sur les flammes attisées

De quand sortiront les villages De se rire du certain

Je ne saurai plus bien Je commencerai par me dicter

Et les orages des tristes volontés Comme vainqueurs

Comme glorieux Dans mes yeux Et je tomberai de justesse

-00h32-




-Que de l’écouter-mNIm-05/06/01/2022-

Merci le certain De me donner le doute Ma déroute

De me placer au début Encore gueulard De la nuit

De m’ankyloser de ce que je pense penser Pencher

De me galoper du ventre Où s’appuie la divagation

Bientôt la porte du soupir Ouvrira de se chercher

De piocher le sol Et retrouver l’eau du ciel Pestilentielle

De nourrir l’oiseau de la parole Qui me verra renaître

Merci le grondement A vantard Et grognon de voir

De me permettre d’écouter les possibles lentement

Et de vite entendre L’image de mon cœur A donner aux malheurs

-00h41-

-Lentement-mNIm-05/06/01/2022-

Je prolongerai le chemin Avec le bâton De ma main

Avec les pupilles éteintes Pour y lire l’éclat des leurs

Des mensonges si particuliers Qui posent dévêtus

Devant les bruits de terres Et des cieux oxydés Si décidés

A tenter de gagner l’emballage des paroles notoires

De gonfler D’assurance Les dialogues d’infamies des nuits

Et Sans y apparaître Comme Victor est monté haut

Je placerai une goutte Du doute d’un certain Et d’autres

De celui qui ne se sais Ni vengeur Ni crevard Ni heureux

Qui Avec l’image tombée Y voit le haut de la montagne

-00h50-




-Sous le chapeau-mNIm-09/10/01/2022-

Petit droit Petit gauche Pied tine Pied tine Pied tine

N’avale pas Ecoute seulement Petit à Petit à Petit à

Cause de changement Debout Devant De comment

Les yeux projetés Par le ricil Envahissant et dense

Protégés par le sourire Domme-moi ta main De loin

Porte avancée Du château-fort de café Et de tarte

Et de calque De la vie Qui dine Qui diminue Qui tue

Sauvée par une cloison de la bêtise Moins que d’amour

Sauce du jet de l’oie Soupe du vrai des choix D’un doigt

Tu te dois de porter Sous ton chapeau D’un petit droit

-00h42-

-Qui re revient-mNIm-09/10/01/2022-

Ça se voit Ça se pose Jet de voix Jet de pose J’aide

La voie Poussée d’un étouffé besoin Lancée de choix

La proie d’être De placer le droit Le poids de naître

A la gauche de ma main droite N’y-a-t-il pas tout Moi

Assise sur le sors de la chaise De mes pieds Se repose

Petit doigt Petit rauque Pied dine Pied dine Vers

La terre porte l’arbre A peine grandit Racine

De la mère Du père Du frère De l’autre de la guerre

La paux pose son chandail Sur un peu de chaleur

De la tarte Ma bouche a enjambé la partie Qui me revient

-00h50-