Michel Marnat
le quotidien et l'art
mardi 29 novembre 2011
Les vents taillent
Et si le nul
Ne compte pas
Il est devenir
Ce presque rien
Qui en a l'air
Peut s'alourdir
S'épaissir du silence
Se grandir de la solitude
Et aussi se démesurer
Et si le rien
Ne pointe le nez
Juste au printemps
Et si les vents
Ridiculisent
Aux lendemains
28/11/2011
17h47
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