-Toi-A nous A vous-Soleil-1les pénombres-Alors-
-mWm-
-01/02/07/2024-
Toi Soleil A l’ombre des souvenirs Rince-Moi
Renifle-moi du soir Chaleur de début de journée
Parfume les lendemains Autrement A rebours
Paisiblement Longtemps l’inconnu Du rond jour
A la pièce de monnaie Tombée sur la mauvaise face
-00h59-
A nous soleil Requinque l’immobile Et soupirs
Coïnce dans le printemps Ma viande faite faisande
Cornichonne de tes poudres d’odeur A ton refrain
A le voilà pas J’y ai cru Et je reviendrai Vrai
J’y étouffe l’impuissance A ne pas y décroire
-01h04-
A vous Vous tous Loin d’étouffer les vérités du rêve
Du moment Eternelle Où nos yeux se sont croisés
Où nos doigts ont posé les stylos de nos lèvres Accroupies
Accord entre deux choix De couture De ciseaux Du beau
A l’ordinaire J’ai mangé la fève Avec son grain
-01h07-
Soleil éclaboussant De nos futurs Plus vieux Plus
La jeunesse a replié Nos fidèles rives De sable
Pas de sagesse Sinon J’airai vidé Près de Toi
Soleil de tes prunes lumière Et de tes mains manie
La jolie vitesse de se trouver Retombe Sous le soleil
-01h11-
Alors les pénombres Creusent des vœux d’autres
De plonger Dans les virgules sombres Au sol
Sans fausse mollesse De ne plus te déplier Là
Ou sous la carbure course à creux J’y viens
Tu es soleil A dix sept Et à tous les longs printemps
-01h14-
Alors ça rassure Les pieds se frottent A pleine course
Alors la serviette Sur la tête des dimanches Reste
Ne va pas Sur un autre sillage Et tiens-moi
Comme tu regardes le soleil Et tenant le mien
L’éclat Des rayons Qui se marient Averc le ciel
-01h18-
-Le parasol-Tu es-Soleil-Se valdinguent-
-mWm-
-01/02/07/2024-
Le parasol Assis sur le tord De la cage Caverneuse
Le tissu Suffisent les places Derrière les arbres
Le mat Tenu par la venue Du tas de ramures
La croix des branches D’avalanche de caresses
La sieste Volumineuse Ça ronde Ça ronfle S’appuie
Sur le sol Sur le sommeil Sur le bord du soleil
Tes paroles sentent l’abeille Comme la voie du Christ
-01h25-
Tu es ma Christ Que je reçois Que tu es belle
Tu es lunette Au tort ses toits Tu me protèges
Tu gambades A travers les nuages Tu cavales
Tu tues les voiles A briser l’immondice de frais
Ti irrites la sortie de la nuit La trame des rires
Dès que tu es là Je cesserai peut-être de vociférer
Les lettres anciennes Pour un poème Soleil
-01h30-
Soleil Riche soleil Tu as garni les dires d’envie
Tu as aplati les fibres De toutes les ombrelles
Tu as laissé couler Les raies de cesse De mieux
Tu as élaboré de nombres de joie D’abord
D’accord Je te retiens Dans mon rire Dessous
De soupe pire Sur ton corps Je pose le rien
Le refrain du chaud Venu des cieux Des yeux
-01h36-
Et se valdinguent les croyances Moins anciennes
Et se déglinguent Les semences nous reviennent
Et Old Boys S’affolent tous les printemps
Autant revenir à demain Contre tes sens
Tes olives vives Bien faites Bien vides Bientôt
C’est beau En se déplaçant de tomber Dessous
Près de ton cœur Auprès de l’or du parasoleil
-01h41-
-Solaire-La crue-A l’or-A l’aurore-Surprise-
-mWm-
-01/02/07/2024-
Solaire J’aime la crème Que tu étales De tes lèvres
A mes miettes diffuses Au devant D’un autre temps
A ma sieste Où tu me pinces Je te sens Tu me tends
Tu élabores Rien de plus précis Que ton bel avenir
A me retenir Tu aurais du Tu aurais cru
-01h50-
La crue Dans un virage de ton visage La plage
La rivière cliquetique de lumière Au goût fier
La rive d’hier S’est emplie de pluie des mieux
Des yeux D’équivalence A un retour Infinir
Retenir la balançoire Et laisser couler les eaux
-01h53-
A l’or du soir Quand la vie irrite Bientôt la nuit
Ou bien la chaleur des corps Qui brûlent fort
La douleur des forts A nager A nager A pêcher
Près des galets Au fond des rives Et des algues
Quand ressortira Des joncs Les fleurs d’hibiscus
-01h57-
A l’aurore d’une seule histoire Courre A la vie
De tomber D’île en nihil De rien Aux tiens
Des coins d’onde Loin D’ombres de tes soins
Et se baladent Les chaussons des mers Amères
Tous ces chants Aux sommets du soleil RA
-02h00-
Surprise N’y a bien du nouveau Le bel soleil
Le vieil oreille de bois Sur la sculpture de mon tronc
De l’arbre De ses larmes De la pluie trempée
Part Un silence y revient Et le sort tire fort
Je te reviens A l’éclair de derrière la page Solailre
-02h04-
-A l’abri-A l’appui-A l’aide-Aussi-
-mWm-
-01/02/07/2024-
A l’abri Tu observes Ô solaire connivence Haute
A soucis Tu oublies De piocher dans la danse
Fuite des yeux Fermer Fermer Tu éclaires trop
Tu obliges le printemps A partir des souvenirs
Tu officialises le temps A la télévision de l’étant
A l’écran Totalement moment Il y a du soleil
Et sous les tuiles basses La carcasse de la ville
-02h10-
A l’appui du conte Raconter Au bord des pieds
A la pluie d’orage Arranger le corps mouillé
A l »habile page Empaqueter les sorts souillés
Suite des vœux Planer Planer Tu éveilles trop
Tu croûtes De pain en pain De se trop lever
De poudrer le sable Les cailloux La grève douce
Et les galets soucieux D’être desséchés D’être soleil
-02h15-
A l’aide D’un foulard du noir Tenir chaud Tenir
Devenir gros Avec les jambes de fournir du courir
Douce Heureusement Pouce d’écorce Me desserrer
Me dévider Sur le matin Avec Un siège D’un geste
D’un fidèle soutien A la vivre encore Qui vit oui
Qui meurt d’or et d’argent Et de l’agent de bruit
Je te perçois A l’ombre d’un soupir Ma fière solaire
-02h20-
Aussi sont Parvenir les rayons de libres vies
Les vivre livres Les puits sans rond D’un ton
De ton histoire De l’observation des rires d’étoiles
De Toi en toile De mien en chien A tes cheveux
A ces Je veux A ces mieux Que le recommencement
Le tendrement caché Derrière une sieste D’un long
Couchée sur le rafle Et arrière Rester A l’onde
-02h26-
-Marchai-Bruit-De sentier-Promenade-
-mWm-
-01/02/07/2024-
Marchait De chanter A sentier Sa voie marchait
Avec bras devant A dépousser les branches alertes
Avec pieds et pas devant A éclabousser du ciel
Il était las Dans les feuilles Mais se laissait tomber
Comme un orage Comme aujourd’hui Il faisait fruit
-02h37-
Il faisait bruit Faisait craquer les marches encore
Faisait sonner Les oiseaux chanter Et le frais
Et le fait du jour Soleil Soleil Soleil émerveillé
Marchait A rebours Pour ne rien perdre du tour
Du retour vers les ombres De ces arbres là
-02h40-
Chaud de sentier A chanter Sa foi Pour une fois
Ressemblait A de ridicules insouciances Vues
Sur la campagne Loin de là Et je t’attends
Sur la montagne Point de soi Et tu ressens
Le chemin de la nuit Quitté par un gros Soleil
-02h44-
Promenade De promenade De promenade Dans le ciel
Etincelle dans les yeux En clignant du vent
Fraîcheur impassible Paisible En sentier
Le dessous Des souliers liés Avec les tièdes
Et les pierres brulantes Saluant le soleil
-02h47-
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