mardi 30 juillet 2024


-Toi-A nous A vous-Soleil-1les pénombres-Alors-

-mWm-

-01/02/07/2024-


Toi Soleil A l’ombre des souvenirs Rince-Moi

Renifle-moi du soir Chaleur de début de journée

Parfume les lendemains Autrement A rebours

Paisiblement Longtemps l’inconnu Du rond jour

A la pièce de monnaie Tombée sur la mauvaise face

-00h59-

A nous soleil Requinque l’immobile Et soupirs

Coïnce dans le printemps Ma viande faite faisande

Cornichonne de tes poudres d’odeur A ton refrain

A le voilà pas J’y ai cru Et je reviendrai Vrai

J’y étouffe l’impuissance A ne pas y décroire

-01h04-

A vous Vous tous Loin d’étouffer les vérités du rêve

Du moment Eternelle Où nos yeux se sont croisés

Où nos doigts ont posé les stylos de nos lèvres Accroupies

Accord entre deux choix De couture De ciseaux Du beau

A l’ordinaire J’ai mangé la fève Avec son grain

-01h07-

Soleil éclaboussant De nos futurs Plus vieux Plus

La jeunesse a replié Nos fidèles rives De sable

Pas de sagesse Sinon J’airai vidé Près de Toi

Soleil de tes prunes lumière Et de tes mains manie

La jolie vitesse de se trouver Retombe Sous le soleil

-01h11-

Alors les pénombres Creusent des vœux d’autres

De plonger Dans les virgules sombres Au sol

Sans fausse mollesse De ne plus te déplier Là

Ou sous la carbure course à creux J’y viens

Tu es soleil A dix sept Et à tous les longs printemps

-01h14-

Alors ça rassure Les pieds se frottent A pleine course

Alors la serviette Sur la tête des dimanches Reste

Ne va pas Sur un autre sillage Et tiens-moi

Comme tu regardes le soleil Et tenant le mien

L’éclat Des rayons Qui se marient Averc le ciel

-01h18-




-Le parasol-Tu es-Soleil-Se valdinguent-

-mWm-

-01/02/07/2024-


Le parasol Assis sur le tord De la cage Caverneuse

Le tissu Suffisent les places Derrière les arbres

Le mat Tenu par la venue Du tas de ramures

La croix des branches D’avalanche de caresses

La sieste Volumineuse Ça ronde Ça ronfle S’appuie

Sur le sol Sur le sommeil Sur le bord du soleil

Tes paroles sentent l’abeille Comme la voie du Christ

-01h25-

Tu es ma Christ Que je reçois Que tu es belle

Tu es lunette Au tort ses toits Tu me protèges

Tu gambades A travers les nuages Tu cavales

Tu tues les voiles A briser l’immondice de frais

Ti irrites la sortie de la nuit La trame des rires

Dès que tu es là Je cesserai peut-être de vociférer

Les lettres anciennes Pour un poème Soleil

-01h30-

Soleil Riche soleil Tu as garni les dires d’envie

Tu as aplati les fibres De toutes les ombrelles

Tu as laissé couler Les raies de cesse De mieux

Tu as élaboré de nombres de joie D’abord

D’accord Je te retiens Dans mon rire Dessous

De soupe pire Sur ton corps Je pose le rien

Le refrain du chaud Venu des cieux Des yeux

-01h36-

Et se valdinguent les croyances Moins anciennes

Et se déglinguent Les semences nous reviennent

Et Old Boys S’affolent tous les printemps

Autant revenir à demain Contre tes sens

Tes olives vives Bien faites Bien vides Bientôt

C’est beau En se déplaçant de tomber Dessous

Près de ton cœur Auprès de l’or du parasoleil

-01h41-




-Solaire-La crue-A l’or-A l’aurore-Surprise-

-mWm-

-01/02/07/2024-


Solaire J’aime la crème Que tu étales De tes lèvres

A mes miettes diffuses Au devant D’un autre temps

A ma sieste Où tu me pinces Je te sens Tu me tends

Tu élabores Rien de plus précis Que ton bel avenir

A me retenir Tu aurais du Tu aurais cru

-01h50-

La crue Dans un virage de ton visage La plage

La rivière cliquetique de lumière Au goût fier

La rive d’hier S’est emplie de pluie des mieux

Des yeux D’équivalence A un retour Infinir

Retenir la balançoire Et laisser couler les eaux

-01h53-

A l’or du soir Quand la vie irrite Bientôt la nuit

Ou bien la chaleur des corps Qui brûlent fort

La douleur des forts A nager A nager A pêcher

Près des galets Au fond des rives Et des algues

Quand ressortira Des joncs Les fleurs d’hibiscus

-01h57-

A l’aurore d’une seule histoire Courre A la vie

De tomber D’île en nihil De rien Aux tiens

Des coins d’onde Loin D’ombres de tes soins

Et se baladent Les chaussons des mers Amères

Tous ces chants Aux sommets du soleil RA

-02h00-

Surprise N’y a bien du nouveau Le bel soleil

Le vieil oreille de bois Sur la sculpture de mon tronc

De l’arbre De ses larmes De la pluie trempée

Part Un silence y revient Et le sort tire fort

Je te reviens A l’éclair de derrière la page Solailre

-02h04-



-A l’abri-A l’appui-A l’aide-Aussi-

-mWm-

-01/02/07/2024-


A l’abri Tu observes Ô solaire connivence Haute

A soucis Tu oublies De piocher dans la danse

Fuite des yeux Fermer Fermer Tu éclaires trop

Tu obliges le printemps A partir des souvenirs

Tu officialises le temps A la télévision de l’étant

A l’écran Totalement moment Il y a du soleil

Et sous les tuiles basses La carcasse de la ville

-02h10-

A l’appui du conte Raconter Au bord des pieds

A la pluie d’orage Arranger le corps mouillé

A l »habile page Empaqueter les sorts souillés

Suite des vœux Planer Planer Tu éveilles trop

Tu croûtes De pain en pain De se trop lever

De poudrer le sable Les cailloux La grève douce

Et les galets soucieux D’être desséchés D’être soleil

-02h15-

A l’aide D’un foulard du noir Tenir chaud Tenir

Devenir gros Avec les jambes de fournir du courir

Douce Heureusement Pouce d’écorce Me desserrer

Me dévider Sur le matin Avec Un siège D’un geste

D’un fidèle soutien A la vivre encore Qui vit oui

Qui meurt d’or et d’argent Et de l’agent de bruit

Je te perçois A l’ombre d’un soupir Ma fière solaire

-02h20-

Aussi sont Parvenir les rayons de libres vies

Les vivre livres Les puits sans rond D’un ton

De ton histoire De l’observation des rires d’étoiles

De Toi en toile De mien en chien A tes cheveux

A ces Je veux A ces mieux Que le recommencement

Le tendrement caché Derrière une sieste D’un long

Couchée sur le rafle Et arrière Rester A l’onde

-02h26-



 


-Marchai-Bruit-De sentier-Promenade-

-mWm-

-01/02/07/2024-


Marchait De chanter A sentier Sa voie marchait

Avec bras devant A dépousser les branches alertes

Avec pieds et pas devant A éclabousser du ciel

Il était las Dans les feuilles Mais se laissait tomber

Comme un orage Comme aujourd’hui Il faisait fruit

-02h37-

Il faisait bruit Faisait craquer les marches encore

Faisait sonner Les oiseaux chanter Et le frais

Et le fait du jour Soleil Soleil Soleil émerveillé

Marchait A rebours Pour ne rien perdre du tour

Du retour vers les ombres De ces arbres là

-02h40-

Chaud de sentier A chanter Sa foi Pour une fois

Ressemblait A de ridicules insouciances Vues

Sur la campagne Loin de là Et je t’attends

Sur la montagne Point de soi Et tu ressens

Le chemin de la nuit Quitté par un gros Soleil

-02h44-

Promenade De promenade De promenade Dans le ciel

Etincelle dans les yeux En clignant du vent

Fraîcheur impassible Paisible En sentier

Le dessous Des souliers liés Avec les tièdes

Et les pierres brulantes Saluant le soleil

-02h47-




 

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