samedi 28 septembre 2024

 -Les bisous de la mer-

-mWm-

-21/09/2024-


Les bisous de la mer Dans ses bras crochus Tordus

M’emmènent Sur le soir A perdre Dans la tempête

Mon soupir autonome Et mes pieds en écume

Que le tendre a verni Terni Et emprisonner Ici

-00h27-

Les bisous sont amères Dans les bas de la dure rue

Les pancartes perdent Les dires Des longues directions

Elles m’embarquent Vers les insomnies Du gros cauchemar

Vers les grillages A porte plantes Des pieds cassés

Passent les environs Pour ne plus tomber En certitude

En croisant Des cœurs Qui ne sont pas du bonheur

-00h32-

Les lèches vitrines Les cockpits Et les prières de chics

Les cocktails ivres de livre Et visites des oreilles vides

Les mèches critiques A mettre En pression Pour leurs progrès

Les temps laissent passer l’étang Noyé dans de l’être

Les comment sarcophages Et les pourquoi En volage

Et où se cachent les amours éternelles A ma belle

Les rires envenimés Les cris désaltérés Et ses yeux creux

Elle m’avait pris le ciel Les vite tournés en bielle

Elle m’avait dit A la façon d’une mère comme traître

Ajouter du retard A la façon Bagarres et distencieux

Elle voulait des bisous Des encore bisous Est-ce la mère

-00h40-



-Bisous de lune-

-mWm-

-21/09/2024-


J’aime ton nez de clown Tes cheveux encore bruns

Et tes bisous de lune Ton sourires Aux yeux de prunes

J’aime tes mains Sur mes reins Et les pleins de runes

Ou la vérité indigente Explosera En longs jours

-00h44-

Et j’aime tes bijoux Tes bisous Tes peaux d’âme

Tes sévères circonstances Qui iront Dans tes bras

Dans tes bois de légende Comme c’était longtemps

Tes plats de caresses Sur ton visage de rondeur

De songeur Qui suis-je Quand je te reçois bisou

Quand bisou Tu m’enlaces Rêves hauts Têtes basses

-00h49-

Comme je t’aime Si radicalement Comme une mie calmante

Comme la croûte d’un pain Qui croustille Dans tes mains

Et tes saints Aux prières Ronds Comme les matins

Comme l’articulation D’un passé de jeun D’adolescentes

Tu me mangeais Tu m’engouffrais Et tu me reniflais

Des ronds bisous Des bisous ronds Et des bonbons bijou

Qui que tu reflètes Tu es le soldat de mon bel air

L’errance va finir Tes bisous vont recommencer

A l’âge d’un demi-siècle Dans la pièce de mon être

De modeler ta peau J’irai me promener En bisous

Et du soir au matin Je rêverai toujours Comme un sourd

-00h56-




-Un beau bocal-

-mWm-

-22/09/2024-


Un beau bocal Calé dans la case Du cadastre

Dans un village plage A début de l’une rue

Avec un unique croisement Quand ils se creusent

Dans l’eau tiède Nourrie de silence Les poissons

-23h03-

Rond récipient Au pied rond Au voyage rond

Ils sont Au moins deux Et d’eux apparaissent

Les routes velours Les miettes feuilles d’algues

Les mélanges de l’éclairage Dans la cage

Les tendances A se ressembler A doux mélange

Avec un arrête-Toi Qui n’a pas exister Les poissons

-23h07-

Les poissons écoutent Dans l’eau claire L’éclair

Le flash de la lumière Qui n’est pas éteinte

Et teinte de jaune-violet Avec du rond rouge

Avec une sieste De les regarder De les garder

De tenir la sentinelle De rouge De droite

Dans les gaucheries de la navigation A l’œil

Au seuil de leur chemin De boite De beau

De route Etalée de fleur mouillée Ça danse

Les poissons se lancent des directions environ

Les poissons se creusent des routes En tous sens

Mélanges des passages Devant mes yeux Les poissons

-23h13-





-Les crétins du poisson-

-mWm-

-22/09/2024-


Les mains en cathédrale Comme une tête de poisson

Les pieds posés Par là A plat De la honte

Les encore raides Parfois à genou Aussi debout

Iels sont ensembles Dans l’allée Où y a

-23h16-

Allez Où il y aura des distances Avec le haut

Où se croisent les bras Tétés Vers le très ciel

Où s’étendent les pattes Ne portant presque rien

Ne disant Deux siècles d’avant Et alors après

Il est né En sens Renverse Avoir tout En avant

L’homélie de retard Comment le temps des mains

-23h21-

Allongées Sur les glacés De pierre Si plate

Le cadastre du sentier Comme des labyrinthes

Le cadavre de la renaissance Est-il vraiment parti

Il ajuste échappé A corps Et à prix Et dort

Puis la porte s’ouvre comme une pensée penchée

Comme un radical entendement Lui Partons

Voyageons Comme les poissons En tournant En long

Songeurs Dans le silence Dans la vacance des oublis

Ecouter les cœurs blessés Les portes des pleurs

Attentives Les conditions de sourire Se démontent

Nous serons les crétins du poisson Sur cette pierre

-23h29-



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