-La
robe l'enrobe-
-mNIm-
-25/10/2019-
Dentelles
Coton très blanc Transparences
Elle
était noire Mais blanche Apparence
Elle
lui avait frotté l'arrière de peau
Lui
sous la couche d'humus Humait
Elle
frottait la toile dans ses mouvements
Juste
sous un air frais quand il caressait
Le
vent aurait voulu être plus chaud
Lui
donner le soleil Lui creuser les reins
Elle
lui avait enfoncé le regard Seule
Elle
essayait de s'approcher de son sol
Mais
que va devenir son silence d'oiseau
Qui
va visiter les creux dans les sentiers
Dévisager
les croyances à l'orée de l'aube
Début
du jour Tes dentelles respirent
Les
trous entre les mailles s'agrippent
Les
nœuds du très coton se resserrent
Et
Elle lui donne son envie de fleur
De
pousse-moi dessus De réveille-toi
Et
à l'horizon de la promenade belle
Elle
n'est plus noire Lui ne la reconnaît plus
La
nuit l'a quitté Du crépuscule à l'aurore
-22h49-
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