-Premier tour de piste-mNIm-19/08/2020-
Porter le flou de l’extra planète Ma grand-mère aurai aimé Arrêter d’égosiller
Placer au très doux dans ce qui me parle le moins J’irai ailleurs Dommage
Le tour du cou me demande de la tenue Le dos droit et la main gauche
Faut-il se complaire à laisser tomber Ce qui n’est pas encore écriture
Tiens C’est mon mot d’illogisme Sabot et rabot D’autres savent
De la pointe de l’encre noire Le trait clair cache la tomette Sous nos pas
Aussi combien Un long tissu Sans ridicule Ecoute les voitures passer
Je Ne sais pas Si je veux Avec le parallèle entre mon ombre et le papier flou
Par le monde de la maison d’intérieur Participer au commencement de ta découverte
-18h45-
-Pour repasser tu repasseras-mNIm-19/08/2020-
Grigami est passé Il repassera dans le temps Comme l’horloge repasse
Le son Il a flouté Il a laissé Grand-mère Qui est-elle Dépassée
Dans les plis de mon texte Donner un sens Une autre sensation Je repasse
La fraise blanche de Grigami Ressemble à l’origami de Mon Cœur
Ma grand-mère aussi aimerait repasser Mon Cœur Sans faux col Alors
L’horloge du papier froissé Avec minutie Avec une minutie repassée
Dans le temps La pâte à pizza ne faisait pas un pli Après son repassage
Dans le four Dans le feu de la vapeur de l’orage d’hier Il est repassé
Il y a Grand-mère et Grigami Copain de Grimaldi et de prendre une tarte
La pâte à tarte Prise dans les mailles Arrosée de confiture folle et floue
-19h30-
-Le destin du dessin perdure-mNIm-19/08/2020-
Le dessein de Grand-mère n’est pas fini Et ne sera jamais perdu Perdure
Dans les mains de Louise Y a encore une trace oubliée Pourtant laquelle
Cheminer de plage en page De place en trace De qui veux-tu dire
Ses lèvres Les plis de ses lèvres Ses maux tendres qui lui font mal
Elle ne m’a rien donné Une soupe à pizza Mon Cœur sur ses genoux
Elle ne s’est pas plainte A juste de la caresse Prit le pli de Grigami Avec
C’était un dessein d’une autre lumière Même pas un cloître Placé sous silence
Louise à qui voyager veut dire « fleur » Comme petite Marguerite La pluie
La pluie de l’encre noire et du partage avec l’arrosé Le fripé Le crémeux
Grand-mère ressemble à ça A tout ça A la vendange de laisse-moi trop
Louise silence la recette de son pinceau Et avec Pâleur paresse la douceur
Je me moque de qui n’est pas là Je l’aime Autant Pourtant Ici tout y est
-20h16-
Sympa d'alterner les poèmes et les fusains.
RépondreSupprimerQue de bons moments passés.J'ai des souvenirs arc en ciel plein la tête !