-Il est plus-mNIm-05/06/01/2022-
Je n’en sais rien Vidange La réserve de belles espérances
Comment fourrer de bonheur Un instant intrépide
Rembourrer de joie Les cris absurdes de l’ignorance
Les piliers malades Comme des arbres centenaires Et l’air
Retombés Les branches renaissantes N’en veulent plus
Les fruits d’espoir S’essoufflent à se gorger d’heures
Restés plongés dans l’orage d’un avenir bien meilleur
Comprimés par les luisances de la lune d’avant-hier
Sommation de la justesse Combinaison de la sagesse
Rien ne vaut les mélanges de la nuit Et du long jour
Mais aujourd’hui La nuit est plus longue que l’amour
-00h08-
-Fatigant encore-mNIm-05/06/01/2022-
Je le sais bien Mon ignorance touche à sa famine
Et devine les contraires Ne valent moins que rien
Au beau milieu des sommeils Plus que déraisons
Au plus offert Des dialogues creux des extrémités
Je Juste maintenant Jubile Que je croîs connaître
La vente de mes riens Bien moins chair et cœur
Plutôt de l’esprit stupide Qui m’emporte Pièges
Je laisserai passer les chemins insolites de l’autre
Oubliant l’aride reflet De ses pensées certaines
C’est l’autre M’emmène Me strie Me déconstruit Bonjour
-00h16-
-De laisser-mNIm-05/06/01/2022-
Je suis le charlatan de mes humeurs possibles
Je divise le doute Avec l’incertitude des routes
Croire en la montagne Emballée de nus nuages sages
Cacher le sentier Prendre le chemin de l’instant d’avant
Plier le genou Pour mieux courir Et ressortir digne
Connaître le terrible horizon En en chantant la ligne
Même la lune ne va plus échanger les cailloux Les ruisseaux
Les buissons écrasés Les arbustes gênés Les vies pas mûres
Et les commentaires alambiqués de tout trop savoir
Je ressens L’incapable lendemain Où je ne verrai rien
-00h24-
-S’enfuir le temps-mNIm-05/06/01/2022-
Sempiternellement Quand je ne me mentirai pas
Gloussement du regard Gardé avec votre nid Pitié
Racontars éloquents De me mettre les deux genoux
Citoyens de mes réflexions En miroir avec vos êtres
Je ne toucherai plus à rien Je reculerai de trois pas
Je souffrirai seul En soufflant sur les flammes attisées
De quand sortiront les villages De se rire du certain
Je ne saurai plus bien Je commencerai par me dicter
Et les orages des tristes volontés Comme vainqueurs
Comme glorieux Dans mes yeux Et je tomberai de justesse
-00h32-
-Que de l’écouter-mNIm-05/06/01/2022-
Merci le certain De me donner le doute Ma déroute
De me placer au début Encore gueulard De la nuit
De m’ankyloser de ce que je pense penser Pencher
De me galoper du ventre Où s’appuie la divagation
Bientôt la porte du soupir Ouvrira de se chercher
De piocher le sol Et retrouver l’eau du ciel Pestilentielle
De nourrir l’oiseau de la parole Qui me verra renaître
Merci le grondement A vantard Et grognon de voir
De me permettre d’écouter les possibles lentement
Et de vite entendre L’image de mon cœur A donner aux malheurs
-00h41-
-Lentement-mNIm-05/06/01/2022-
Je prolongerai le chemin Avec le bâton De ma main
Avec les pupilles éteintes Pour y lire l’éclat des leurs
Des mensonges si particuliers Qui posent dévêtus
Devant les bruits de terres Et des cieux oxydés Si décidés
A tenter de gagner l’emballage des paroles notoires
De gonfler D’assurance Les dialogues d’infamies des nuits
Et Sans y apparaître Comme Victor est monté haut
Je placerai une goutte Du doute d’un certain Et d’autres
De celui qui ne se sais Ni vengeur Ni crevard Ni heureux
Qui Avec l’image tombée Y voit le haut de la montagne
-00h50-
-Sous le chapeau-mNIm-09/10/01/2022-
Petit droit Petit gauche Pied tine Pied tine Pied tine
N’avale pas Ecoute seulement Petit à Petit à Petit à
Cause de changement Debout Devant De comment
Les yeux projetés Par le ricil Envahissant et dense
Protégés par le sourire Domme-moi ta main De loin
Porte avancée Du château-fort de café Et de tarte
Et de calque De la vie Qui dine Qui diminue Qui tue
Sauvée par une cloison de la bêtise Moins que d’amour
Sauce du jet de l’oie Soupe du vrai des choix D’un doigt
Tu te dois de porter Sous ton chapeau D’un petit droit
-00h42-
-Qui re revient-mNIm-09/10/01/2022-
Ça se voit Ça se pose Jet de voix Jet de pose J’aide
La voie Poussée d’un étouffé besoin Lancée de choix
La proie d’être De placer le droit Le poids de naître
A la gauche de ma main droite N’y-a-t-il pas tout Moi
Assise sur le sors de la chaise De mes pieds Se repose
Petit doigt Petit rauque Pied dine Pied dine Vers
La terre porte l’arbre A peine grandit Racine
De la mère Du père Du frère De l’autre de la guerre
La paux pose son chandail Sur un peu de chaleur
De la tarte Ma bouche a enjambé la partie Qui me revient
-00h50-
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