-Des buts-Démontrés-
-mWm-
-08/06/2023-
Ça continue de commencer Débute le creux de la belle question
Ça est là Avec une soupière d’inconnu Perdu de cru Et de la cuite
Ça change de sens Selon le long de la tendresse Des ronds mots
J’ai mal à ça A dit l’enfant A son amie des fendre tempêtes
Il pensait à ça Et à ça d’autre Et à d’autre ça Posé tout Partout
Tu accroches le vent Le bon Du chant de l’horloge A sa minute près
Aussi Si ça va Ça trouve Dans la balance Une histoire de là-bas
-20h19-
A l’autre bout du monde Des monstres pensaient A ça A de l’individu
Ces étranges étaient là Par trois ou quatre Et parfois étaient cinq
Et le carré leur servait de défense Ils se tournaient le dos
Et celui qui répondait à la question Allait droit devant ses pieds
Qu’est-ce que ça Et ça changeait tout le temps Et ils changeaient de direction
Comme ils n’étaient pas envahis par ça Tout semblaient facile Et tout ça
Alors par paquet de famille Les trois ça Pouvaient rencontrer Des ça
-20h24-
-N’être pas moins-En vie dit vue-
-mWm-
-08/06/2023-
Faut-il n’être pas au moins ça Pour revivre un peu Dit l’individu
Ce ça d’individu cherche à se cacher Que les monstres l’attrapent là
Ce centre de la ronde Quand il se glisse A beau milieu des familles
Et les autres des familles De trois ou de quatre Avancent Et reculent
C’est monstrueux ça De ne pas le voir Le centre de là Cette famille
Avons-nous notre individu Se demande notre famille De ça à ça
Et ça continue A tourner A se bousculer A dévisager A l’avenir
-20h50-
E le ça comme individu N’en finissait pas de n’être Et de renaître
Entouré de ses monstres Il creusait le dos Et passait çà et là Comme ça
Il ne savait pas la quantité de sa famille Et il tournait Sans sens
Sans sensation La tête tournait Les pommes tombaient Et hélas
Il se trouvait étranglé de renaître A ne plus rien comprendre De ses ça
Et les monstres heureux De ne plus rencontrer de ça Et ça continuait
Et de n’être que ça Et de renaître comme ça Dans le vivre ensemble
-20h54-
-Ruminer-Dans la molle famille-
-mWm-
-08/06/2023-
Ça coince Toute la ronde bouge Et roule Et rumine Que dire de plus
Avançons à triple pas Dans les directions des ventres Comme la mère
Et les familles de se cogner la vie De grogner De se poser un peu
Et les individus Mon individu de ma famille n’ose plus rien ressasser
Il est comme ça Il n’hésite pas à hésiter Et à se chercher une pomme
Ça Sa pomme Une pomme par famille de trois Et de quatre Ça croque
Celui qui a hérité de la pomme sait le goût du sucre Et de tout ça
-21h46-
Nous somme dans la marée A ne pas prendre un air de la pomme
Nous arrivons Au bord du bord Et nous mouillons Nous trempons
Et de ça Des autres De famille en famille Ça pousse Ça tombe à l’eau
Et ça commence par revivre un autre temps Ça oxygène le trop soir
Trempé par le souvenir de la vie L’autre vivant commence à comprendre
Il y a les marées Aujourd’hui mouillé Demain sec Tous se poussent
Et le ça de l’individu se noie Et laisse se ruminer Dans la molle famille
-21h51-
-Tenir-Le debout-
-mWm-
-08/06/2023-
Ma famille a un nom Persil madame Persil monsieur Et les autres familles
Liseron Potentille et chiendent En lice pour le podium Ça renâcle
Ça rumine la marée Ça prépare à tomber A tenir debout D’un bout
A vouloir courir la terre A chercher à s’étaler Plus Et plus encore
A tenir l’un à l’autre Comme un individu Explosé de ne pas savoir
A de debout A tomber A courir De reculer A qui A quoi A ça
Et c’est ça La vie de la lutte Le chemin vers demain Etre encore debout
-22h18-
En lice pour le podium Qui gagnera vraiment Se demande Potentille
Avec ses guenilles en mandille Ses vieux habits de transparence noire
Ses dentelles de frisson A caresser le cœur A ça près Prêt de l’individu
Et Chiendent Veut du vent Du connaître d’avant Et de courir après
Avec son vêtu de neuf Comme sa toile cosmique Et de l’arbre Dorique
Avec ses pelures à canard Prêt pour les eaux Prêt pour le noir Et En pomme
Aussi Si ça n’arrive pas A vouloir la paix Et que chacun ne tiennent Que le debout
-22h24-
-Le début-D’égoutter-
-mWm-
-08/06/2023-
Comment tenir debout Du début à la faim de suivre Tendre l’oreille
Prêter l’oreille A tout ce qui est dit De si De ça Si seulement
Si scintillement Chacun cri et rumine Chacun pousse de sa joie
Nous y arriverons tous A écouter Même ne le croit pas Comment ça
Le silence n’existe pas A toujours une famille Persil De persiller
De persiffler Le temps A grand pas De marcher De se déséquilibrer
Autant marcher Arrêt Trop de pas de deux De trois La valse fait du bruit
-22h56-
Je t’écoute Tu écoutes Nous égouttons les brouhahas de si De la Belle note
Nous sentons la musique de la voix Bien réglée au tono C’est recta
Nous suffisons de rien Nous allongeons le fruit Nous sentons la jus
Un jour viendra où chacun pourra entendre le pépin de la pomme
La feuille du Liseron La tige de ficelle de la Potentille Et du Chiendent
Pourquoi le soir vient-il Aussi rapidement Nous voulons tout entendre
Le plus important Est-ce de l’entendre Ou de prêter une oreille d’une vie
-22h58-
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