samedi 30 novembre 2024

-Les pétales de la parole-

-mWm-

-04/11/2024-


Ce n’est plus la fleur du printemps

La lueur A travers le ciel clair

Les pétales de la parole Tombent


Au début Tendrement Sonore

Envie de marcher Entre les pierres

D’avancer A peu de pas de loup

A paresser Pour aller découvrir

Sur les marches La fleur des sables


Au début Christal Et tintements

La fenêtre Avec les mailles vitrail

Les couleurs traversent Ma tête

Plongent Vers les pavés usés

Et les mains en avant Pour autant

Pour Fragiles Passer les airs frais

Il n’est encore pas La fleur du printemps

-15h13-


Il est la contemplation des sépales

Des graines respirent Au vent

Aux tendres moments Silence


Ta voix A la clarté Du coître

Des pierres dures Adoucies des pas

Ton timbre chanter Sous ta tunique

L’habit traverse Le jardin Dieu

Et je n’entends que le clair du chant


Ton temps n’est pas fini Alangui

Ton silence n’existe plus Tu es là

Dans les fleurs De la terre tiède

Sous le soleil du soir Du matin

De l’instant Où il est si bassement

Du plaisir De surprise T’écouter

Avec le mot illisible Qui me porte

-15h17-


Scintillement

A la clarté

De la corde


Des champs

Autour des pierres

Résonnantes


Des refrains

Dans le calme

Sans larme


Sensible

L’autre pays sourit

De simple


La fenêtre

Nous laisse bâtir

Notre fleur

Le coeur

-15h21-





-Elle qui chantait Lui-

-mWm-

-04/11/2024-


Ce n’est pas Elle Qui chantait C’était Lui

Elle me dit Qu’elle est une génie Sidérale

Trouver sa vie Sortie de la lampe magique


Chansons enforme de prières Et de fleur

Un beau paragraphe Mélodieux

Dans mes souvenirs De mes soupirs

De l’écoute Que je fis d’elle Si belle

Une fleur Dans une lampe d’Aladin


Par le couvercle soulevé Sous ses pieds

Par la brillance De ses parois de fer

Dans la brillance Qui me lance

Je jette mon regard A tout hasard

A tout prendre Je me mets à divaguer

A envisager les douceurs du printemps

Et Elle m’éclaire Dans mon drôle d’air

-15h35-


Elle est si tiède De l’avoir frotté

Elle écrase le passé Vivre demain

Et son éclat de voix Si limpide


Son habit Comme des dentelles

Traverse ma peau Comme cadeau

Comme tendresse Dans les airs claires

Dan la mollitude De ma situation

Elle me redresse Elle me vite libère


J’aurai pu courir Sans faillir

Je pourrai rougir De respirer

Je vais aspirer Tous ces parfums

Tous ces mélanges De tout bonheur

Je suis sorti De la bâtisse triste

J’ai voyagé Dans mes belles idées

Et ton génie Ma belle Est de créer l’envie

-15h41-



Mes pieds Mes bras

Déchaine Mes doigts

De piété


Mes yeux La nuit

Tu a sortir de l’air

Ta lumière


Ton fil pensé

Endiablé et libre

A se casser


A courir A jaillir

A emmener mes rêves

De fleurs sêves


Le liquide symbiotique

Entre Toi et Moi

Tu es repartie

-15h45-




L’objet était posé Entre mes genoux

Il brillait Il Brillant Il était doux

Il me faisait pencher Vers ma belle


Chevelure A te regarder Brillante

Allant de l’avant Alliant l’allure

Avec le sortir du soleil Ronde fenêtre

Avec la pluie A l’avenir Surprise

Qui fera pousser La fleur du cœur


Tes lèvres compatissantes et lentes

La mélopée da douceur Matin voleur

De mes songes Car après disparus

Après Retour Le ventre m’exaspère

La pierre s’en suivi Par l’écrit

Par la découverte Du bel objet

Ton génie a perdu Mes rêveries

-15h52-




-Mes rêveries La vie-

-mWm-

-04/11/2024-


Mes rêveries La vie rêvée Démange

Vous êtes là Où sommes-nous

Qui êtes-vous Où irons-nous Ensemble


De l’objet scintillant Elle l’était

La première des anges D’Angélo

La dernière des mauvaises Telles quelles

La suite du lendemain Infiniment

Avec la passage du pont Aux pieds d’airain


Elle était Cet ange-là Je l’ai rêvé

Elle portait Des ailes de papillons

Avec du bleu Avec le long Portrait

Son nez sentait la pierre à feu

Mystérieux A vouloir Plus voler Encore

Etrangeté et filandreuse A ta gloire

Tu vis Dans mes rêveries Mes songes

-16h08-


Vous Toute belle poussette A pieds

A la roue du temps Où le paon roule

A la vitesse De ma détresse En sueur


Le cœur vagalâme Le cri synopsis

Les monstres Alambiqués Me trompent

Les misères De ne rien façonner De tout

Les carrières de pierre Et de galère

Ils portaient Les méandres Sculptés


Usés des vols De déliquescence d’être

Rusées A parcourir Tout mon avenir

Je n’ai rien fait Je ne saurai rien

Je veux voler Dans un tiède chagrin

Et mes aides qui vous me serez toutes

Avec l’ardeur De la subtile futilité

Tu as reconnu la fin 9a se termine bien

-16h15-


Les bandes sons

Sont volubiles

Clinquantes


Les tristes hivers

Transformés en printemps

M’aiment


Et m’amènent

A redonder de voir

L’or du noir


Hors de tout Toi

Tu voles En plus Encore

A l’étroit


Et les anges revivent

Dans de la pluie jolie

Dans mes rêveries

-16h18-




-Fini par commencer-

-mWm-

-04/11/2024-


J’ai fini par commencer A écrire

Flapi Sur ma table de chevêtre

Pleins de rêves Dégoupillés De vies


Aucun maléfice N’en pourrait tenir

D’’escarbille en escarcelle Volantes

De fragile A ma querelle Flottante

De qui De quoi De nous Rôdant

A travers mes lunettes Je me protège


A casse-tête démonté A piétiné

A mélange de couleur De rôdeur

A creuse-toi Un peu Le plein citron

Promet Aux temps De l’écriture

Envisage-Moi L’envie D’un seul drame

D’une seule fête Rogne et flapie

Et envahit De lourdes Et de bombes

-16h37-


Tu m’as dégoupillée le rires Détresse

Tu m’as apportée Un bonheur maléfique

Et tu m’as Et tu m’as Facile


A coups de main De poings A casse-tête

Au bout de bois Tournés D’escarbilles

A force de choix Que je n’ai pas vraiment

A tord A doigt A rose poix A la fois

Je poursuivrai De rires Mes regrets


Tu as été la génie De mes vérités

A casse-pied Je n’ai pas renoncé

Aucun maléfice Plus grand Plus gros

Et plus sabot Que mon cœur flapi

Je dénonce la réalité Il faut s’éveiller

Sortir De la lande du baladin

Et pour demain Revenir Et dégoupiller la vie

-16h46-





 

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