-Par parapluie-mNIm-11/11/2021-
Le parapluie Le piano Le violon Pourquoi aussi le parapluie
Les gouttes de musiques En cliquetis M’enveloppent les oreilles
Merveilleuse La mélodie sur la toile Tendue Aux baleines
Je ne tiens plus rien Ni le vent envole Aux vibrations Violon
Ni la touche Tintements Frôlent l’air Elles se partagent
Elles échappent Au soleil qui couche La montagne magique
Je ne reviens de rien Redécouvre le très blanc de son flanc
Ni l’archer Sur le bout des arbres Fort comme le nuage
Ni la teinte omnivore A lâcher les siens de doigts
Je vous écoute La musique arrêtée Echanges des mots Des notes
-17h34-
-Le matin clair-mNIm-11/11/2021-
La musique retrouve Les sommets du parapluie Sans pluie
Sans vent Sentiments du cadeau Un peu plus d’or
Avec Reprise du mouvement Faire Disparaître l’avant
J’entends les mains dans l’eau Et le piège du haut ciel
Le violon l’embarque L’entretoise de la porte me dépasse
Sonores L’enchainement à mon désir d’oreille Les notes
M’engourdissent De fuir le reste des souvenirs d’ailleurs
Je suis dans le rendre si beau La mélodie m’envahi
Cadences des gouttes des pluies De pouvoir De pleuvoir
Je suis assis Sur le bord d’un autre monde Sonate
J’ai perdu mes habitudes Je distingue le matin le matin de l’air
-17h42-
-Plus de poussière-mNIm-11/11/2021-
Articule le sens Dans la poignée d’une belle ombrelle
Ce n’était pas un parapluie C’est le soleil de l’ombre
Ça ne se ventre plus Ça cristallise Mon long retard
J’écoute le plan de se poser Sur les bords de la terrasse
Et la vitre Laisse un peu traverser la rue du dernier rayon
Et l’image Aux murs Vacances d’une autre tempête
J’ai reconnu les vrombissements alternés Violon Piano
Le creusement de ma tendresse à la musique S’essuie
Le mont d’un autre côté des récitals endiablés
Je bois un verre d’eau De la poussière Si fine Si mélodie
-17h50-
-A mes oreilles-mNIm-11/11/2021-
Comme le cartilage de mes poignets Au beau stylo
Comme le bout de ton doigté Toi Au violon Au piano
L’arrondi de la nuit L’emporté Sur le geste debout
Les croisements de toutes les notes M’endimanchent Saut
Sauts A travers les trempages des pages des sages Rages
Des connivences Entre vos oreilles Votre bouche Et aussi
Je ne reviens pas de la nuit Je reconnais le double soleil
Celui-ci m’emmaillote de merci Sur un rayon clair
Une croyance avec l’harmonie de donner les sons
Les siens Les leur Les vôtres Et toutes mes oreilles
-17h57-
-Là la course-mNIm-11/11/2021-
Le parapluie Nuit
Note Piano Violon
Comme printemps
L’emporte le soleil
Si Ciel l’ombrelle
Et la manche tient
Je me souviens bien
Mes fiers sortilèges
Laissons encore danser
Etendons Une sieste
Je te donne Tu me donnes
Et la teinte mirifique
Dispose des sonne-d’ose
De mande A mon tendre
L’envol de porter La note
-18h07-
-Chapeau-claque-mNIm-12/11/2021-
Chapeau-claque Applaudissement Quand Concert Vivant
Fini de poursuivre Personne n’attend Tout est là
La roue de la sol La charrue s’envole Roue Bateau
Bateau vole et disparaît Aux souvenirs vermeils
Tu te souviens Sur le grand piano Paquebot Beauté
L’archer Violonisme vibrant D’il y avait longtemps
La clé porte les doigts A montrer les horizons longs
J’ai voyagé Sur la mer bleue du ciel Nuageuses
Les tendres circulations des sons Et des plongeons
-16h53-
-De venue-mNIm-12/11/2021-
J’ai enfoncé mes pieds dans la terre de boue
Elle était bleue Remplissant de son sang Valise
Enrobant le lentement De la pièce Mi-ombre
J’ai soulevé le couvercle Le ventre plein de jour
J’ai rempli de pluie Mes yeux Et mes oreilles salvatrices
J’ai dégringolé les temps Par deux ou par trois
J’aurais aimé applaudir Le concert va commencer
Les murs retombent Après avoir plané Sans arrêt
J’ai retiré mon chapeau-claque Nu Devant la musique
-16h59-
-La soupe des plumes-mNIm-12/11/2021-
Garnissons Gravissons Les plumes tombent Les sons
Un peu de rôtis Du joli lit de jus Anoblir De la note
Chacun pose le soir Venu de l’onde Frétillement
Chacun équilibre l’orage sous le toit de la toute ronde
Longue Profonde Vagabonde Le soi va de l’ombre
Effilée la tendre Plongée dans un verni dissout
Souterraine La musique renait du bel instrument
Le violon emporte Le piano englobe Dans le centre
Une feuille écrite M’emmène vers votre splendide
-18h10-
-Eteint celle-mNIm-12/11/2021-
Cerise dans le crâpeau Gémissement du plaisir
Frayeur de ne pas rejoindre Là où nous sommes emportés
Failli Soupirs Gravir La main porte la lumière
Sous les silences des gens immenses S’allongent les
Comme vous redire ma foi avec l’embardée sonore
Vous m’entrainez sur le fil du cœur Jusqu’à l’heure
Où est placée la porte du bonheur Où tout nous arrive
La rigole où coule l’eau universelle de la sonate
Je ne porte plus rien Enveloppé du monde étincelant
-18h16-
-J’en marche-mNIm-12/11/2021-
Nous sommes là pour la musique Je marche dans les pas
De n’avancer qu’avec l’envie d’être nourri par les monts
L’éclat de la montagne Plein le violon Les sapinières fières
Les airs frais et chauds Le haut du fil des tintements
Je reste dans les pas de Jack J’avance dans la musique
Je souhaite tant écouter Ce qui va advenir de ma folie
Une porte couverte d’ascenseur Lueur de la ridule de l’eau
Une tordre mollesse Je souffle Pas à pas Je ne renonce pas
Dans mes pieds Je fais le chemin Une belle rencontre
-18h28-
-Toute plaine-mNIm-12/11/2021-
Nous sommes là pour la rustine A protéger le monde
Lui tendre du bonheur Contenu dans le sublime temps
Dans la route jolie De se suivre Les uns et les autres
De vadrouiller dans vos rêves Avec l’odeur fluide
Avec l’or de nuire Sans prendre compte Sans luire
Mon bonnet Retiré de mes oreilles Ecoute Ecoute
Les sons doux et heureux De quoi suis-je incapable
Peut-être les mains avancent Sur l’hôtel de l’instrument
Jack m’emmène Et je lui donne la laine de mes oreilles Toutes pleines
-18h34-
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