dimanche 1 août 2021

 

-Violon Piano-

-mNIm-

-19/07/2021-


Allez-y Crescendo Mon pantalon est variété de toucher D’oreilles

Revenir A la position Concordance des sonorités Evaporées

Subtil ventre à pierre Les murs de la raison Recouvrent la maison

Tu lances Tu jettes Tu ensevelis Sous le soleil A volets clos

Grises Mes envies de vous observer les oreilles Si roux si vertes

Sinon Non seulement Un pas de danse Un déplacement rond

Ma chemise reçoit les vents Etalement Cime sonne Vive donne

Italique Evapore l’horizon A travers la fenêtre du haut plafond

Je suis-je vais-je ralentis Si je te vais Voulons la ronde Et siffle

Vite L’annonce d’un pied levé J’abonde en t’abandormant

Aussitôt La musique De mettre d’accord Doucement Sur le fronton

Solitaire Les temps se redonnent la vie Et dialogues Voilons panneaux


-17h33-




-La maison vous repire-

-mNIm-

-19/07/2021-


Ce n’est pas la plainte de la maison Mais laissons La pierre cendre

Il n’y a pas de feu Le tremblement du caractère L’encombre en vain

Tout finit doux Et quand viendra l’éloquence du tout petit doux

En double vous A vous deux Dressent les élégances La cadence

La porte se claque Frisent l’avant du vent Violences ramollies

Jolie nuit de te paraître essentielle Les délais laisse le sens

Sans l’interdit La nuit rebondit Ronde nuit Rend folie

Debout le mélange s’émiette et recompose Une doute mélodie

Genoux je suis dans le genou Du rouge lent Du temps secoue

Aussi Ça claque l’ensemble Recommence S’arranger Se dansent

Les pierres écoutent Dans mes timbres d’oreille Et les miels

Tout a donné l’enlacé et le concentré du chanté En trombe

J’écoute Je suis envahi Je suis inédit j’effiloche mes sentiments La note


-17h52-





-Sur une route rouge-

-mNIm-

-19/07/2021-


S’élance dans la route Un homme Une moustache longue d’envie

Ne jamais s’écraser Redresser le tort Dépasser Sans soulier

Ne plus rincer son regard Vers un lieu d’ailleurs Ensorceleur

La manche découverte Les bras balançant l’air La musique se vente

N’a pas la place d’une autre vie Continuer Aussi décidé que le fruit

Il avait une maison Une famille Une balance dans l’esprit dû

Il avait une urgence Commander une vengeance finie Oublier dur

S’avance sur les roues Les voitures le déplacent Mais il va plus vite

Sur les côtés Les chants des voisins Ont perdu les chances de le voir

Il est parti Il s’est du monde Fuite Echappé d’un rien mobile

Ne tourne pas la tête Reste vivant Dans la tombe des lents passés

Il va vite Beaucoup plus vite Encore plus vide Il abandonne tout

Ses jambes Comme ses bras Le guident vers sa solitude Décider

Il va prendre un jeu de temps De tempête De cheminer Pour accepter l’avant


-18h26-




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