-Les pétales de la parole-
-mWm-
-04/11/2024-
Ce n’est plus la fleur du printemps
La lueur A travers le ciel clair
Les pétales de la parole Tombent
Au début Tendrement Sonore
Envie de marcher Entre les pierres
D’avancer A peu de pas de loup
A paresser Pour aller découvrir
Sur les marches La fleur des sables
Au début Christal Et tintements
La fenêtre Avec les mailles vitrail
Les couleurs traversent Ma tête
Plongent Vers les pavés usés
Et les mains en avant Pour autant
Pour Fragiles Passer les airs frais
Il n’est encore pas La fleur du printemps
-15h13-
Il est la contemplation des sépales
Des graines respirent Au vent
Aux tendres moments Silence
Ta voix A la clarté Du coître
Des pierres dures Adoucies des pas
Ton timbre chanter Sous ta tunique
L’habit traverse Le jardin Dieu
Et je n’entends que le clair du chant
Ton temps n’est pas fini Alangui
Ton silence n’existe plus Tu es là
Dans les fleurs De la terre tiède
Sous le soleil du soir Du matin
De l’instant Où il est si bassement
Du plaisir De surprise T’écouter
Avec le mot illisible Qui me porte
-15h17-
Scintillement
A la clarté
De la corde
Des champs
Autour des pierres
Résonnantes
Des refrains
Dans le calme
Sans larme
Sensible
L’autre pays sourit
De simple
La fenêtre
Nous laisse bâtir
Notre fleur
Le coeur
-15h21-
-Elle qui chantait Lui-
-mWm-
-04/11/2024-
Ce n’est pas Elle Qui chantait C’était Lui
Elle me dit Qu’elle est une génie Sidérale
Trouver sa vie Sortie de la lampe magique
Chansons enforme de prières Et de fleur
Un beau paragraphe Mélodieux
Dans mes souvenirs De mes soupirs
De l’écoute Que je fis d’elle Si belle
Une fleur Dans une lampe d’Aladin
Par le couvercle soulevé Sous ses pieds
Par la brillance De ses parois de fer
Dans la brillance Qui me lance
Je jette mon regard A tout hasard
A tout prendre Je me mets à divaguer
A envisager les douceurs du printemps
Et Elle m’éclaire Dans mon drôle d’air
-15h35-
Elle est si tiède De l’avoir frotté
Elle écrase le passé Vivre demain
Et son éclat de voix Si limpide
Son habit Comme des dentelles
Traverse ma peau Comme cadeau
Comme tendresse Dans les airs claires
Dan la mollitude De ma situation
Elle me redresse Elle me vite libère
J’aurai pu courir Sans faillir
Je pourrai rougir De respirer
Je vais aspirer Tous ces parfums
Tous ces mélanges De tout bonheur
Je suis sorti De la bâtisse triste
J’ai voyagé Dans mes belles idées
Et ton génie Ma belle Est de créer l’envie
-15h41-
Mes pieds Mes bras
Déchaine Mes doigts
De piété
Mes yeux La nuit
Tu a sortir de l’air
Ta lumière
Ton fil pensé
Endiablé et libre
A se casser
A courir A jaillir
A emmener mes rêves
De fleurs sêves
Le liquide symbiotique
Entre Toi et Moi
Tu es repartie
-15h45-
L’objet était posé Entre mes genoux
Il brillait Il Brillant Il était doux
Il me faisait pencher Vers ma belle
Chevelure A te regarder Brillante
Allant de l’avant Alliant l’allure
Avec le sortir du soleil Ronde fenêtre
Avec la pluie A l’avenir Surprise
Qui fera pousser La fleur du cœur
Tes lèvres compatissantes et lentes
La mélopée da douceur Matin voleur
De mes songes Car après disparus
Après Retour Le ventre m’exaspère
La pierre s’en suivi Par l’écrit
Par la découverte Du bel objet
Ton génie a perdu Mes rêveries
-15h52-
-Mes rêveries La vie-
-mWm-
-04/11/2024-
Mes rêveries La vie rêvée Démange
Vous êtes là Où sommes-nous
Qui êtes-vous Où irons-nous Ensemble
De l’objet scintillant Elle l’était
La première des anges D’Angélo
La dernière des mauvaises Telles quelles
La suite du lendemain Infiniment
Avec la passage du pont Aux pieds d’airain
Elle était Cet ange-là Je l’ai rêvé
Elle portait Des ailes de papillons
Avec du bleu Avec le long Portrait
Son nez sentait la pierre à feu
Mystérieux A vouloir Plus voler Encore
Etrangeté et filandreuse A ta gloire
Tu vis Dans mes rêveries Mes songes
-16h08-
Vous Toute belle poussette A pieds
A la roue du temps Où le paon roule
A la vitesse De ma détresse En sueur
Le cœur vagalâme Le cri synopsis
Les monstres Alambiqués Me trompent
Les misères De ne rien façonner De tout
Les carrières de pierre Et de galère
Ils portaient Les méandres Sculptés
Usés des vols De déliquescence d’être
Rusées A parcourir Tout mon avenir
Je n’ai rien fait Je ne saurai rien
Je veux voler Dans un tiède chagrin
Et mes aides qui vous me serez toutes
Avec l’ardeur De la subtile futilité
Tu as reconnu la fin 9a se termine bien
-16h15-
Les bandes sons
Sont volubiles
Clinquantes
Les tristes hivers
Transformés en printemps
M’aiment
Et m’amènent
A redonder de voir
L’or du noir
Hors de tout Toi
Tu voles En plus Encore
A l’étroit
Et les anges revivent
Dans de la pluie jolie
Dans mes rêveries
-16h18-
-Fini par commencer-
-mWm-
-04/11/2024-
J’ai fini par commencer A écrire
Flapi Sur ma table de chevêtre
Pleins de rêves Dégoupillés De vies
Aucun maléfice N’en pourrait tenir
D’’escarbille en escarcelle Volantes
De fragile A ma querelle Flottante
De qui De quoi De nous Rôdant
A travers mes lunettes Je me protège
A casse-tête démonté A piétiné
A mélange de couleur De rôdeur
A creuse-toi Un peu Le plein citron
Promet Aux temps De l’écriture
Envisage-Moi L’envie D’un seul drame
D’une seule fête Rogne et flapie
Et envahit De lourdes Et de bombes
-16h37-
Tu m’as dégoupillée le rires Détresse
Tu m’as apportée Un bonheur maléfique
Et tu m’as Et tu m’as Facile
A coups de main De poings A casse-tête
Au bout de bois Tournés D’escarbilles
A force de choix Que je n’ai pas vraiment
A tord A doigt A rose poix A la fois
Je poursuivrai De rires Mes regrets
Tu as été la génie De mes vérités
A casse-pied Je n’ai pas renoncé
Aucun maléfice Plus grand Plus gros
Et plus sabot Que mon cœur flapi
Je dénonce la réalité Il faut s’éveiller
Sortir De la lande du baladin
Et pour demain Revenir Et dégoupiller la vie
-16h46-